Et voici le deuxième de mes brouillons abandonnés… L’information est trop croustillante pour ne pas la diffuser, même avec autant de retard…
ou… quand modifier la méthylation de l’ADN suffit à expliquer les différences de taille entre les fourmis adultes (de l’espèce Camponotus floridanus ou « la fourmi chapentière de Floride). Cette différence de méthylation touche le gène Epidermal growth factor receptor (egfr) dont l’importance dans les mécanismes de croissance et de développement est bien connue. Ces variations se font suivant un continuum et permettent d’expliquer des différences quantitatives (quand la génétique mendélienne classique s’intéresse à des variations qualitatives : présenter ou ne pas présenter un trait génétique donné). Cela ouvre donc des pistes très intéressantes…
Fascinante épigénétique…
Pour aller plus loin :
http://www.nature.com/ncomms/2015/150311/ncomms7513/full/ncomms7513.html